Le vin est un ciment social — Et le flacon importe !

AUTANT QUE LA CONVERSATION.

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UN PEU D’HISTOIRE

La vallée du Rhône, dans toute sa sinueuse splendeur, est la colonne vertebrale de notre carte des vins (et nos préoccupations quotidiennes) mais ce n’est pas une délimitation précise : La carte s’arrête là ou le vin est bon. Du fin fond du Languedoc avec les sorcières de M. Bizeul en explosive Champagne avec M. Gerbais, via l’Armagnac en saut de haie et — pourquoi pas — on ne Comte plus les virées Bandolaises. Puis, au pas de course, direction Gigondas et une pirouette chez Nittardi pour un Chianti qui nous emballe, emballé comme il est chaque millésime dans un tableau. Et en Moselle, enfin, on se rafraîchit en croquant une pétroleuse racée, un zeste revigorant après la douceur froufroutante des caresses Ligériennes.

Au fil des années, Willi’s a, avec modestie of course, atteint un statut d’institution. Mais nous ne sommes pas dans le commerce d’etiquettes. Les gens reviennent, pour notre bonheur si grand qu’il n’égale que notre surprise, mais ils reviennent car ici, il y a toujours quelque chose de différent à boire.

En somme, il y a de quoi goûter. Les vins au verre changent souvent (il faut bien vider la cave) et ils sont représentatifs de la carte : c’est diversifié, ça crée de la conversation. Alors. Installez vous au bar, parlons un peu, goûtez, et voyagez. Il y a des petits verres, des verres de grande personne, des carafes et — allez — des bouteilles entières. Et si d’aventure vous avez faim, nous pouvons probablement y remédier. Vous savez où nous trouver !

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